Sammaël d'Achéron

Seigneurs et dames des Cavalier !!!

J'annonce, que d'ici quelques jour je viendrait en ce lieu pour vous présenter mon histoire. Le récit que je vous conterais sera vaste et remontera jusqu'a mon pére, l'histoire expliquera notamment pourquoi un mort-vivant comme moi ce bat pour la lumiére...

Hm hm j'ai hâte de lire cette histoire alors...

Je te remercie pour ce compliment, mais faudra attendre, je savais pas que je pouvais faire ça aussi bien!

Un courageux....

J'adore moi aussi ses histoires.

Bon, voilà j'ai fini mon histoire, du moins la première partie, ma présentation. Vraiment désolé pour le retard, je sais que dans mon premier post j'avais mit "quelques jours" et j'aurais du mettre " quelques semaines" .J'ai été retardé par pas mal de chose, et j'arrêté pas de changé l'histoire. Désolé aussi si vous êtes déçu de mon Histoire Rp après toute cette attente mais je ne suis pas un pros du Rp j'ai d'ailleurs demandé quelques conseils à des amis qui se débrouillent.

Citation :

Récit de Sammaël d'achéron

Chapitre 1: Genèse et pouvoir

La brume se levait à peine sur les plaines dévastées D’Erudia, le massacre prenait alors toute son ampleur ; Les corps décharnés s’empilaient funèbrement. Une nuit d’acharnés combats avait déchiré le ciel d’Achéron, Royaume d’Urok le Mort-vivant, dit le Cruel. Et ce n’était pas là fausse réputation…Les cadavres aux longues oreilles étaient figés dans des expressions de douleurs et de souffrances inimaginables. Des elfes ? Oui des elfes… Ceux ci ne pouvaient pas tolérer l’existence des morts –vivants … Et les rixes aux frontières du royaume d’Urok s’étaient multipliées. Depuis longtemps les Elfes convoitaient les Terres Achéennes et ils décidèrent d’attaquer de nuit en passant par les Marais Déserts et la Plaine d’Erudia. Mais les Vampires à la solde d’Urok étant de parfaits espions, les troupes d’Ombres, liches et Ankous avaient été préparées bien avant que les elfes ne se mettent en marche.
Ce fut un vrai massacre, une lourde défaite pour le peuple elfique qui avait envoyé ses meilleures garnisons d’archerie et de surcroît cette victoire sonnait comme l’accomplissement du règne d’Urok.
Seul, Le monarque marchait ; ralenti par une plaie béante au bras droit. Celui là même qui tenait son épée …il avançait cependant, traçant un sillon dans le sol humide. Il jetait un dernier regard, emplit de dédain a ceux qui avaient péri sous sa lame ou celle de ses soldats.
Les rayons de soleil commençaient à percer la brume de moins en moins opaque quand un soldat décharné s’adressa à son Roi :

- M’seigneur... On est les derniers …l’soleil se lève …s’srait plus prudent de rentrer à la Nécropole !

Le roi leva des yeux vident d’expression et fit un geste de dépit ….

- Laisse moi, gueux ….Laisse-moi ici sans me contredire ou tu rejoindra les félons morts en ces lieux

Le soldat n’osa à peine relever ses yeux tellement le ton d’Urok semblait grave.
Le roi était donc seul, au milieu des corps démembrés et ensanglantés…Il se complaisait dans le carnage, il avait envie de cracher sa haine aux visages des êtres déjà morts. Il tira son long Cimeterre et mit en charpie des corps déjà ravager par de violentes lames, Il hurlait de plaisir en faisant virevolter sa lame comme un possédé jusqu’à ce qu’il la range …doucement tout en fixant une silhouette. Urok avait retrouvé son calme, et s’approcha du corps d’une elfe, en pourpoint de cuir. Elle ne présentait aucunes autres plaies qu’un trou béant sur le haut du crane ….sans doute fut-elle frappé par une masse d’arme Ankou. Le silence était désormais maître des lieux, on aurait entendu le moindre crissement à des dizaines de mètre à la ronde. L’absence de bruit fut soudainement rompue par un hurlement, Le roi arracha le pourpoint en cuir et dénuda entièrement la jeune Elfe, sa peau blanchâtre fascinait et excitait les sens poussiéreux du monarque, l’expression de douleur figée sur le visage de l’elfe au moment de sa mort semblait s’intensifier a chaque coup de rein, a chaque fois que le corps mortifié et son propre corps ne faisait plus qu’un ; comme si par delà la mort …le viol barbare et primaire de sa dépouille la blessait…Quand il eu terminé de faire violence et offense à son cadavre, il pris la dépouille sur son épaule meurtrie et s’en retourna à la Nécropole, la brume opaque et ténébreuse enveloppa sa silhouette jusqu’à l’engloutir.

A l’abris des regard …aidé de sa garde la plus proche, Urok déposa le corps souillé et fertile de l’elfe dénudée dans le Caveau de la Nécropole, puis aidé d’un sorcier Ombre ils proférèrent des incantations du livre de Morts pour que sa descendance puisse prendre vie dans le corps de l’elfe …Lui seul savait ce qu’il faisait et personne n’avait l’audace de lui poser de question. Il poussa une lourde plaque de pierre …renfermant sa progéniture pour qu’elle puisse grandir et se nourrir du corps de son hôte en toute quiétude. Il se retourna vers ses quatre gardes Revenants et dit Ainsi :

- Eole, Meotos ..Tuez ces deux traîtres en désignant les deux autres gardes.

Les deux Revenants réagirent vite et tirèrent leurs épées des fourreaux, les deux autres hébétés n’opposèrent pas de résistance. Urok contempla les deux corps inertes, sourit, et tira son long Cimeterre pour en assener un coup violent dans la nuque d’Eole…sa tête roula au sol et rejoins les corps des deux autres. Meotos leva les yeux vers le grand Mort-vivant, il serrait son épée mais tremblait ; jamais personne n’avait eu la prétention et l’idée de défier Urok. Cependant il brandit son épée, et avant qu’il ne puisse frapper, le Roi lui trancha la tête au niveau du nez…Urok se retourna alors vers le sorcier, et ce dernier n’eut même pas le temps de comprendre qu’il allait mourir que le Roi sanguinaire avait déjà sa main plongé dans la poitrine du sorcier. La main ensanglantée d’Urok tenait de ses doigts acérés le cœur déjà pourri de l’Ombre. Le sorcier, encore conscient, s’écroulât et vit son cœur putride s’éteindre dans la main d’Urok. Ainsi personne ne pourrait plus témoigner de ce qui reposait dans cette crypte …sous cette dalle épaisse.

Les saisons avaient effacé les séquelles meurtrières de cette atroce nuit et les Plaines avaient retrouvé un aspect Lugubre mais paisible, silencieux et lisse. Cependant, l’ambiance n’étaie pas si lisse en la Forteresse Achéenne, la question de la succession d’Urok divisait. Etait-il sans descendance ? Et bien là se posait la question…certains n’acceptaient pas qu’un Monarque puisse avoir été enfanté dans la dépouille d’une elfe. C’était la premiere fois qu’un Mort-vivant venait à apparaître ainsi, né d’une dépouille violée et de la magie

Sammaël avait déjà tout appris de son Père …beaucoup diraient-même qu’il était sa réplique parfaite, mais une chose en ses yeux changeait, son regard, il n’était pas… perfide comme son père. Sa parole laissait certains dans le doute ; jamais ont avais vu le Prince commettre d’acte atroce comme ceux de son père. On allait même jusqu'à dire ironiquement que Sammaël connaissait la pitié.
Mais les ragots ne ralentissait pas la réalité…la folie d’Urok l’avait rendu sénile et incapable de diriger un royaume. Le Cruel s’était très tôt aperçu que Sammaël ne tuait pas pour la jouissance …Et qu’il n’aimait pas cela. Il en était même arriver a massacrer un village pour tenter d’éveiller les sens sadique du Prince, en vain. Sammaël avait certainement dû être « contaminé » par l’elfe. En effet, il n’était qu’un hybride, un bâtard, et il avait dû hériter de la morale vertueuse de cette elfe. Depuis ce temps le Roi ne voulait pas entendre parler de son fils …Jusqu’à ce soir d’hiver, soir où les couloirs sombres et glacés de la Nécropole résonnèrent de cris et d’hurlements rauques. Urok avait fait appeler le Prince Mort-Vivant dans la salle des Réclamations. Sammaël y trouva une demie-douzaine de gardes en armes entourant une famille de paysan, venant probablement d’un village des Plaines. Le silence, le même qui avait jadis régné sur le champ de bataille empli de cadavre….Ce silence obsédant et terrifiant fut brisé par des mots qui sonnèrent lourdement dans la salle :

- Sammaël, prouve-nous que ta condition de Bâtard ne t’empêche pas de gouverner mon Fief et que ta lame est sans pitié…aucune

Le prince avait très bien compris ce que son Géniteur cherchait de lui, et plutôt que de tirer son épée …il la brisa sur le sol de la pièce et provoquant son Père du regard ….Sans un mot il restait planté là, entre la garde et les gueux.

- Assez ….Tuez moi ces merdeux et enfermez le bâtard de sorte que l’on entende plus parler de lui …c’est un Ordre !

A ces mots, les épées se tirèrent de leurs fourreaux et bientôt se levèrent au-dessus des têtes des soldats Achéens….Un cri arrêta net les bourreaux, Un soldat gisait à terre, ensanglanté. Sammaël se tenait droit, un poignard dans la main gauche et la lame du soldat dans son autre main. Pour la premiere fois, il ressemblait en tous points à son père ; ses yeux avaient la même expression rageuse que ceux de son père lors de la bataille des Plaines. Il s’élança sur les gardes et fit siffler sa lame dans les airs. Il hurlait comme son Père avait hurlé, il donnait des coups dans les corps puissants des gardes, visant les jointures des lourdes armures de mailles d’où s'écoulait du sang putréfié et noirâtre. Il laissa sa dague plantée dans la nuque du capitaine de la garde et de sa bote écrasa la tête décapitée d’un soldat malchanceux. Un seul soldat restait debout …moins vaillant que les autres il se cachait derrière son bouclier en ébène, dans sa rage sammaël sauta sur le lâche et de ses dents lui arracha la vie…de son trou béant au milieu de la gorge, le sang puant du garde s’écoulait sur le sol froid.
Le prince, la bouche ensanglantée s’approcha du trône et dit froidement à son père :

- Urok, lève-toi, ce trône n’est plus à toi ….fuis pendant que je te laisse la vie

Le mort vivant …se leva d’un pas sec et les yeux fous de rage, empoigna son épée …ce fut là son dernier geste ; à peine eu t-il le temps de serrer son pommeau que l’insolent prince avait loger sa lame dans la gorge du Roi déchu…le son de sa tête s’écrasant sur le carrelage scellait son long et cruel règne.

Le prince avait obtenu le pouvoir par le sang et les armes …mais il était déterminé à le conserver par la négociation et la politique extérieure…

Les mois qui suivirent la prise de pouvoir furent rudes ; Sammaël se livra aux purges du royaume car il savait qu’il ne fallait jamais laisser d’occasions de se venger à ceux que l’ont avait offenser…Or le meurtre de son père avait provoqué de vives réactions chez les doyens et les fervents défenseurs du conservatisme mort-vivant. Une milice de mort-vivant s’était crée …Elle revendiquait le trône et exigeait de Sammaël qu’il soit brûlé pour effacer toute trace de ce bâtard.

Les rixes dans les plaines devenaient incessantes entre les troupes du Prince et les félons Morts-vivants…Jusqu'à cette soirée d’été. Les quelques révoltés ; une centaine tout au plus faisait face à un millier de mercenaire et soldats à la solde de Sammaël. Au son du cor, les cavaliers chargèrent et ne laissèrent à l’infanterie que des cadavres à taillader. Le Prince devenu Roi enjambait les cadavres de ce qui fut l’entourage de son Père en jetant des regards pleins de dédains aux restes putréfiés des traîtres…
La brume se levait sur les Plaines d’Erudia et déjà les silhouettes ne se distinguaient plus …la brume, lourde, épaisse tombait rapidement et cette fois elle scellait le règne de Sammaël… Roi des Terres D’Achéron.

Très bon...hm hm un viol, hein ? hm hm ...

Si tu me le permets, je peux mettre cette première partie dans la gazette dans ta présentation ?

J'attends ton accord avant de faire quoique ce soit ! en tout cas, un RP très prenant...et très intéressant...et très barbare...mouah ah ah !!

OK pour la gazette Chindra
J'ai hésité à mettre un Rp violent mais je voulais montrer la cruauté de mon pére et le fait que je suis différent de lui.

N'importe quoi celui-là ... Bon merci pour ta permission, je vais le mettre dans la gazette et les autres, j'attends toujours vos présentations !!! Hein ?!!!!!!!

Nos présentations à tous?

Présentation de toute la guilde...donc oui de tout le monde !